Passé décomposé, Thriller
EAN13
9782843625671
Éditeur
Terre de Brume
Date de publication
Langue
français
Fiches UNIMARC
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Passé décomposé

Thriller

Terre de Brume

Indisponible

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Chacun porte en lui une part de secret qu’il garde enfouie…

Margot en est intimement persuadée lorsqu’elle se lance dans la quête de ses
origines et remonte le fil ténu de la mémoire, au milieu des ruines de la
ville où elle a toujours vécu. Mais ce mystère conduit parfois au massacre et
au meurtre. Et, bien malgré elle, épaulant ses anciens collègues policiers,
Margot se retrouve sur la piste de véritables monstres, fruits de terribles
secrets plongeant leurs racines dans les pires moments du passé. Projetée
parmi ces êtres d’apparence anodine, qui parfois nous ressemblent, il lui
faudra pour survivre, déceler ceux qui tuent ou enlèvent des femmes dans les
desseins les plus sordides… Mais peut-être que le plus inquiétant n’est pas
là…

Un thriller haletant avec comme toile de fond des secrets de famille

EXTRAIT

Maurice Le Borgne se frotta les yeux, puis referma le dossier qu’il lisait
pour la vingtième fois en deux jours. C’était assez pour ce soir. Il allait se
lever mais soudain, le regard trouble, il sortit une photo d’un tiroir et
contempla longuement la jeune fille bronzée qui posait. Dix-sept ans, presque
dix-huit…
Il soupira. Il devait se dépêcher. Il avait promis à Josette qu’il serait à la
maison avant minuit pour fêter la nouvelle année… Mais il y avait cette fille,
elle le hantait… L’étage était silencieux. Josette attendait surement. Les
petits étaient devant la télé à regarder une cassette et Sabrina, l’ainée,
restait surement enfermée dans sa chambre. Elle avait demandé à passer la nuit
du 31 avec des copains, mais il avait refusé. Il la trouvait trop jeune. Dix-
sept ans. Comme Karine sur la photo… Il n’avait pas vu le temps passer. Son
boulot le prenait tant, que les enfants grandissaient sans qu’il s’en
aperçoive. Les premiers mois bien sûr, il voyait les transformations. Mais
tout à coup le bébé se mettait à marcher à quatre pattes, bientôt il ne
fallait plus qu’un doigt pour le faire traverser la maison sur ses jambes et
un jour, on devait déjà l’amener à l’école.
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