Climat, j'accuse, Des millions de morts au nom des pays riches ?
EAN13
9782810006809
Éditeur
L'Artilleur
Date de publication
Langue
français
Fiches UNIMARC
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Climat, j'accuse

Des millions de morts au nom des pays riches ?

L'Artilleur

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Ils ne savent pas ce qu’ils font. Ils disent vouloir sauver la planète pour le
bien de l’humanité. Mais si on les écoute, les conséquences seront
dramatiques. Lorsque la plupart des responsables politiques, économiques ou
religieux accréditent l’objectif de la conférence de Paris de réduire de 50%
les émissions de CO2 à l’horizon 2050, non seulement ils font aveuglément
confiance au travestissement de documents scientifiques, mais surtout ils
contribuent à la mise en danger de mort de millions d’hommes et de femmes. Car
chaque année, plus de quatre millions d’êtres humains meurent parce qu’ils
n’ont pas ou peu d’électricité et qu’ils sont intoxiqués par les fumées de
foyers domestiques. D’après l’OMS (Organisation Mondiale de la Santé), ce «
dirty cooking » constitue bien la première cause mondiale de mortalité
humaine. Pour faire cesser cette tragédie et plus généralement sortir de la
pauvreté plus de trois milliards d’habitants, il faut avant tout leur donner
accès à une électricité abondante et bon marché, que seules peuvent le plus
souvent leur procurer des centrales à gaz ou à charbon. Mais, au nom de la
lutte contre les hypothétiques inconvénients du CO2, les gouvernements des
pays riches voudraient le leur interdire. Heureusement, les pays pauvres ne
les écouteront pas, conduisant la conférence de Paris, la COP 21, à un échec
total.
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