Mémoires d'entretemps
EAN13
9782749126319
Éditeur
Le Cherche Midi
Date de publication
Collection
Fictions
Langue
français
Fiches UNIMARC
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Mémoires d'entretemps

Le Cherche Midi

Fictions

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"Il y a une magie dans votre livre, comme une naissance du monde - et le
portrait aussi de sa fragilité. Le temps, bien sûr, et votre entretemps. J'ai
passé des heures à vous lire." Jean d'Ormesson


Ce deuxième volume de l'œuvre en prose de Jean Orizet est construit de la même
façon que le premier, Les Forêts de l'impossible. Il se veut, là encore, une "
œuvre ouverte ", selon la formule d'Umberto Eco, c'est-à-dire un livre en
devenir obéissant à une dynamique interne de l'intertextualité.
Ces Mémoires d'entretemps combinent souvenirs et rencontres, mêlent fiction et
réalité, mythes et histoire. Ils sont aussi un hommage aux " alliés
substantiels ", aux amis disparus et à des figures qui occupent une place
privilégiée dans le panthéon personnel de l'auteur.
La " magie du lieu " garde également sa place dans ce livre qui nous entraîne
à Vienne chez Freud, à Berlin et dans le Valais chez Rilke, à Sils Maria chez
Nietzsche, à Palerme, sur les traces de Raymond Roussel, à Cuba, sur celles de
Che Guevara, à Mexico chez Octavio Paz, à Prague avec Arcimboldo, à Rome avec
Stendhal. Comme pour Les Forêts de l'impossible, l'ensemble trouve sa
cohérence et son fil conducteur sous le signe de l'entretemps, ce présent
perpétuel, cet instant suspendu de l'éternité qui est devenu, en trois
décennies, la marque ou l'estampille de Jean Orizet, grand voyageur dans l
'espace-temps des poètes, des philosophes, des peintres et des physiciens.



À propos des Forêts de l'impossible :



La magie du lieu a toujours inspiré Jean Orizet. Couronné par l'Académie
française, cet auteur qui mêle tous les talents – le roman, la poésie ou la
critique d'art – publie le premier volume de ses reportages sur la réalité et
de ses écrits sur les écrivains. Philippe Vallet, " Le Livre du jour ", France
Info



" J'aurai flâné ma vie, incertaine rivière. " Le vers de Supervielle aurait pu
être l'épigraphe de ce premier volume regroupant les proses de Jean Orizet...
Que de belles onctuosités. Thierry Clermont, Le Figaro littéraire
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