"Pour Mustapha Jmahri, l'enfance est un champ inépuisable d'anecdotes, de
souvenirs, de "choses vues", et dans ce champ il glane, ici et là, pour
composer ces histoires qui nous émeuvent, nous amusent ou nous étonnent. Elles
lui ressemblent, ces histoires : elles sont sans prétention, elles ne se
poussent pas du col, elles s'excuseraient presque de solliciter notre
attention mais elle recèlent toujours en elles quelque chose de précieux : une
morale, une leçon, un détail que nous avions oublié" (extrait de la préface de
Fouad Laroui).