Notre famille

Akhil Sharma

Éditions de L'Olivier

  • Conseillé par
    7 mai 2015

    Que dire ? Que dire ? Que je me suis ennuyé ? Certes non, enfin, un peu quand même. Que j'ai aimé ? Non plus. En fait, je suis passé au travers de ce roman sans qu'il s'imprime en moi. L'histoire d'Ajay ne m'a pas du tout touché, j'ai eu l'impression d'une vague connaissance qui me raconterait sa vie avec ses bonheurs et ses malheurs, sans que je compatisse ou que je me réjouisse. Imaginez la scène : je revois une vieille connaissance, on s'arrête prendre un verre dans un bar et, pendant qu'il me raconte sa vie, totalement absorbé par ce qu'il dit, mon esprit s'évade, je regarde au-dessus de mon interlocuteur -qui en l'occurrence est un monologueur (?)-, entend sa voix mais ne l'écoute plus, sans que lui ne s'en rende compte. Vous comprendrez dès lors que je n'ai pas d'avis sur ce roman. Alors pourquoi écrire un demi-billet dessus me questionnerez-vous ? Ben oui, pourquoi ? Juste pour faire mon intéressant, bien sûr..


  • Conseillé par
    11 avril 2015

    Ce roman nous trace la vie d'Ajay et de sa famille. Cette famille indienne décide de partir vivre aux Etats unis ; mais là bas un véritable drame se passe : Birju , le fils ainé est victime d'un terrible accident et reste paraplégique.
    A partir de là , la vie de cette famille devient bien compliquée... Ajay va devoir trouver sa place et continuer à avancer malgré tout.
    De plus, ce roman tragique est amplifié par les différences culturelles entre les habitudes indiennes et celles des américains...
    Récit poignant .


  • Conseillé par
    13 janvier 2015

    Même sans lui

    On apprend qu’Akhil Sharma a mis dix ans pour écrire « Notre famille ». En refermant son livre, on comprend mieux pourquoi. Pas facile de revenir sur son passé. Oui, la vie de son jeune héros Ajay, c’est la sienne. Accompagné de son grand frère Birju et de ses parents, il quitte Delhi pour l’Amérique. Nouveau pays, nouvelle vie. Mais l’Inde n’est jamais loin, car ses compatriotes se mélangent peu et forment une communauté fermée sur elle-même. Une communauté qui est fière de compter parmi ses membres le frère d’Ajay. Birju n’est qu’un adolescent mais personne ne doute qu’il réussira une brillante carrière.

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