- EAN13
- 9782355847998
- Éditeur
- Sonatine éditions
- Date de publication
- 20/02/2020
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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Santa Muerte, protegeme...
Austin, Texas. Tu t'appelles Fernando, et tu es mexicain. Immigré clandestin.
Profession ? Dealer. Un beau jour... Non, oublie " beau ". Un jour, donc, tu
es enlevé par les membres d'un gang méchamment tatoués qui ont aussi capturé
ton pote Nestor. Pas ton meilleur souvenir, ça : tu dois les regarder le
torturer et lui trancher la tête. Le message est clair : ici, c'est chez eux.
Fernando croit en Dieu, et en plein d'autres trucs. Fernando jure en espagnol,
et hésite à affronter seul ses ennemis. Mais avec l'aide d'une prêtresse de la
Santería, d'un Portoricain cinglé et d'un tueur à gages russe, là oui, il est
prêt à déchaîner l'enfer !
Écartelé entre deux pays, deux cultures, deux traditions, Fernando est un
antihéros des temps modernes. Quand toutes les frontières se brouillent, seul
un nouveau genre littéraire peut dessiner le paysage. Gabino Iglesias invente
donc ici le barrio noir. Il y conjugue à merveille douleur et violence de
l'exil, réalisme social et mysticisme survolté, mélancolie et humour
dévastateur.
Austin, Texas. Tu t'appelles Fernando, et tu es mexicain. Immigré clandestin.
Profession ? Dealer. Un beau jour... Non, oublie " beau ". Un jour, donc, tu
es enlevé par les membres d'un gang méchamment tatoués qui ont aussi capturé
ton pote Nestor. Pas ton meilleur souvenir, ça : tu dois les regarder le
torturer et lui trancher la tête. Le message est clair : ici, c'est chez eux.
Fernando croit en Dieu, et en plein d'autres trucs. Fernando jure en espagnol,
et hésite à affronter seul ses ennemis. Mais avec l'aide d'une prêtresse de la
Santería, d'un Portoricain cinglé et d'un tueur à gages russe, là oui, il est
prêt à déchaîner l'enfer !
Écartelé entre deux pays, deux cultures, deux traditions, Fernando est un
antihéros des temps modernes. Quand toutes les frontières se brouillent, seul
un nouveau genre littéraire peut dessiner le paysage. Gabino Iglesias invente
donc ici le barrio noir. Il y conjugue à merveille douleur et violence de
l'exil, réalisme social et mysticisme survolté, mélancolie et humour
dévastateur.
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